Sommaire du n°100 - (PDF)

Numéro 100
Soyons iconoclastes… Et prêts à se contredire.
Ne soyons pas nombrilistes, ne cherchons pas à nous faire plaisir.
Je ne crois pas que nos lecteurs, notre public, attendent quelque chose de réellement spécial pour ce numéro 100 de la lettre de l’Ocim.
Sans doute, faut-il souligner le rôle de l’équipe, à travers un trombinoscope amélioré (genre comment étions-nous en 1985 ?), un historique de la CST (et donc l’Ocim) depuis 20 ans (et encore je n’en suis pas sûr).
Ce que je veux dire que l’autocélébration n’intéressera personne à part nous et les quelques « copains/copines » qui sont autour de nous. Même s’ils sont une centaine, cela représente 100 / 15 000 lecteurs soit 0,6 %, disons 1 % pour être large.
L’idée de mettre en valeur le réseau. Idée généreuse certes mais là encore, et les échanges avec les uns et les autres à propos du site Internet le montrent, nos partenaires n’attendent pas que nous nous occupions de leur promotion.
Alors, comment peut-être ce numéro 100 pour moi ?
Finalement, guère différent d’un numéro habituel de la Lettre de l’Ocim. Mais c’est probablement le meilleur moment d’introduire un nouveau rédactionnel tel que nous l’envisageons (appel à des pigistes).
Il me paraît plus important de fêter les 20 ans de l’Ocim comme une véritable fête – physique -, un événement. Un moment où l’on se fait plaisir avec ceux qui nous ont toujours soutenu et que l’on apprécie. Ne pourrait-on pas envisager à l’occasion des journées d’études de novembre prochain, où d’un autre événement, d’organiser une soirée « festive », avec pourquoi pas, et c’est l’article du monde qui me le fait penser une soirée théâtre scientifique (enfin du « vrai » théâtre !).
Désolé de casser l’ambiance, peut-être ? !
Phillippe Guillet / Directeur de l'OCIM